Témoignages

Retour au Sommaire: Taichi Chuan & Qi Gong

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Catherine

Catherine

Du Taï Chi Chuan et du Qi Gong pratiqués dans l'association Art du Vivant avec Anne Cassar, ce que je peux en dire et ce dont je peux témoigner :
La conscience de mon corps et sa souplesse se sont accrues considérablement depuis que j'ai entrepris ces pratiques avec Anne, il y a 3 ans.
Et ça continue à se développer au fur et à mesure !
Je faisais du Taï Chi il y a 30 ans avec un guide très orienté sur l'aspect martial de ces gestes et si c'était riche du point de vue des sensations, il y avait un état d'esprit
qui ne correspondait pas à mon besoin de lâcher prise. J'avais donc arrêté et suivi d'autres pratiques dont diverses sortes de yoga et la sophrologie dont je suis devenue praticienne.
Mon parcours de vie m'a conduite en Dordogne, il y a 15 ans, où je tiens, avec mon compagnon, une épicerie Bio.
C'est là que j'ai rencontré Anne, son calme, sa gentillesse et aussi cette passion pour son activité que j'ai captée à travers ses propos.
Aussi, après avoir vu le DVD ou Stévanovitch (son maître) faisait une démonstration de Taï Chi Chuan et Qi Gong, j'ai su définitivement que c'était cet enseignement là que je voulais.
Plus je pratique avec Anne, plus je fréquente les différents groupes, plus je suis à l'aise dans ces gestuelles et postures, plus je sens que cela est bon et naturel pour mon corps,
même si ça bouscule parfois (seulement les mauvaises habitudes !).
La cohésion des gestes dans le groupe se fait, comme par magie, grâce à l'orchestration subtile de Anne.
Cette profondeur du travail énergétique qu'elle conduit nous amène à percevoir la circulation du chi (énergie de vie) dans le corps et aussi à agir dessus pour une meilleure santé
et un certain épanouissement qui vient de l'intérieur.
Cela est, pour moi, une forme de méditation et le fait de la vivre en groupe est vraiment stimulant.
Le plaisir de la pratique est aussi bien présent quand, après avoir mémorisé, je la fais seule.
Catherine

Alice

Suite à la journée de pratique de Tchi du Poumon en cette fin d'automne, cela m'a permis d'arrêter de fumer.

En effet, en rentrant chez moi le soir j'ai été dégoûtée par le goût du tabac.

Impossible de fumer. La nausée était trop forte.

Le lendemain, pareil.

Je me suis donc servie de cette occasion pour arrêter complètement.

La pratique sur cette journée a été très intensive et bénéfique pour engendrer un réel nettoyage organique, dans la profondeur.

Merci Anne d'avoir ouvert cette porte pour moi.

Alice

Envol 1

Johanna

Silence, ça tourne…
Pas toujours bien rond

Parfois sans queue ni tête

Trop, ça tourne, trop vite, en rond…Joh

Prenons le risque du silence
Cet ami pas rentable à nos yeux

Qui s’avère un allié si précieux

Et qui caresse si bien nos présences

Et lentement, tout tendrement
Levons le pied et pas à pas

Grandissons-nous sans tracas

Prenons le risque du temps, qui prend son temps

Serrons-nous fort en toute confiance
En l’humain qui repose au creux de soi

En l’animal qui sommeille au fond de toi

Vibrons fort en criant le silence

Et laissons nous tourner tout tranquillement
En rajoutant des points les uns après les autres

Pour rester en suspension

Silence, ça tourne…

Johanna Gallard

                                                                                                             

Dgé (Geneviève BEAUCHAMPS)

Amenée à transmettre !
de Dgé, le 1er Septembre 2020

Quand je suis née, en 1947, ma sœur aînée venait d’avoir cinq ans, j’étais la cinquième.
Quand j’ai eu douze ans, nous étions dix.
En grandissant, quotidiennement, on apprenait des plus âgés et on montrait comment faire aux plus jeunes. J’aimais bien montrer.
Je me souviens aussi particulièrement des moments passés dans la nature, le long des chemins, dans les bois, en montagne, au bord de l’eau...
Ce monde immense à découvrir !
Là, je me sentais m’appartenir, être.
A seize ans, je suis devenue répétitrice violoncelliste. Mon premier travail rémunéré.
Regarder, écouter, observer, voir où est le besoin de montrer, de remontrer.
Encourager à s’entraîner, à s’exercer, encore, et encore, sans se crisper, sans s’énerver, toujours tranquille et détendu, pour que le corps puisse mémoriser.
Enseigner, j’aimais beaucoup ça !
Puis j’ai mis au monde quatre enfants.
Je me suis chargée de leur instruction au sein de la famille pendant une quinzaine d’années...
Tout en participant à la mise en place et à l’animation de divers ateliers d’activités créatrices pour les enfants et les adultes dans un centre social : musique, peinture, sculpture, expression corporelle ; séjours d’été nature pour les adolescents.
Mes petits avaient grandi, j’ai retrouvé une place de professeur de violoncelle dans l’Allier.
Parallèlement, j’ai eu des ennuis de santé. Des petits mais aussi des gros !
Le temps était venu de faire attention à mon corps, à moi donc. C’était l’heure d’une prise de conscience globale. J’ai suivi pendant quelques années un cours d’anti-gymnastique (Th. Bertherat).
 la même période, j’ai entrepris un travail de « développement personnel », j’ai suivi une formation, et je suis devenue praticienne accompagnatrice en Respiration Consciente dite aussi Rebirth.
J’ai reçu l’initiation Reiki, quel vaste royaume que celui de l’Energie !
En même temps, quelle belle surprise, je me suis retrouvée grand-mère, j’avais 45 ans !
J’ai rencontré la longue maladie, celle qui vous cloue au lit, qui vous condamne, vous laisse impuissante,...
(50 ans. Les médecins m’ont dit que je ne pourrais plus jamais me relever !)
Là, j’ai étudié l’œuvre de Deepak Chopra, qui m’a mise sur le chemin de la guérison... Je me suis relevée et mieux encore.
Passage en Haute Vienne. Année 2000. La plus jeune de mes enfants atteint sa majorité. Moi aussi ! Je m’épanouis, je sens mes ailes se déployer.
Praticienne en Rebirth, en Reiki. Je crée une chorale pour ceux qui croient qu’ils chantent faux. Je découvre le Taïchi.
Témoin de la force de guérison qui se trouve en chacun de nous, je la partage...
Puis j’arrive en Dordogne, d’autres maladies, nouvelles guérisons, rencontre avec Olivier et Anne Cassar,
et toujours le taïchi qui me soutient lorsque je crois que je vais couler, et me porte lorsque je me relève...
Peu à peu, Anne m’a invitée à me placer devant pendant les cours, quelques instants, puis quelques minutes, puis pour dérouler la forme.
Trop émue les premières fois, à ne plus savoir qui j’étais, jusqu’au jour où je me suis sentie tranquille et concentrée...
Bref, je suis encore sous le coup de la surprise, mais quand Anne m’a demandé de donner le cours à Badefols, j’ai accepté tout de suite.
Avec plaisir. Me voilà !

Dge

Date de dernière mise à jour : 2022-09-29